Sexual Parasite aka Killer Pussy
Quand Sakurako Kaoru combat un parasite sexuel, ça donne un délire bien nippon.
contenu publié le 12 juin 2011 par Orion8k
Au Japon, les actrices AV ont parfois la chance de montrer leur talent dans des films dit traditionnels, même si bien souvent, il s'agit de productions complétement fauchées et dingues, destinées au marché des direct to video.
Parmi les réalisateurs faisant souvent appel aux actrices AV, le plus connu est sans doute Takao Nakano. En effet, son créneau depuis 1993 est le gore érotique complètement barré, cet homme ayant même fait l'objet d'un reportage diffusé sur la chaîne télévisée arte en janvier 2011.
La production qui nous intéresse dans cet article s'intitule Sexual Parasite ou Killer Pussy (Kiseichu Killer Pussy au Japon). On retrouve au casting Sakurako KAORU, bien connue des amateurs d'AV. Elle est ici on peut le dire l’héroïne de cette production. S'ajoutent au casting Natsumi MITSU, une autre figure familière des amateurs du porno nippon, mais aussi Tomohiro OKADA et Togo OKUMOTO, acteurs de très nombreux films érotiques et de série B, ainsi que Toshimichi TASAKI.
Les deux autres filles du casting sont Sachika UCHIYAMA, qui semble avoir tourné dans quelques films AV de seconde zone (principalement des films scato) et Yumi YOSHIYUKI, qui elle a une très longue filmographie de productions Pink (érotiques).
Le film commence un peu à la manière de Braindead. Une expédition nippone est en Amazonie pour récupérer un poisson très rare ; après avoir pêché le dit poisson, un sorcier les met en garde sur le fait que celui-ci est maudit. C'est d'ailleurs à ce moment là que le poisson en profite pour se faufiler dans intimité de la fille du groupe. Le générique nous apprend que ce poisson est en fait un parasite qui s'introduit dans le vagin des femmes, dans lequel il vit et se développe par la suite. De retour au Japon, cinq jeunes tombent en panne en pleine forêt et trouvent refuge dans un étrange bunker. Manque de chance, c'est là que se trouve le corps congelé de l'exploratrice précédemment "violée" par le poisson...
Les acteurs sont mauvais, véritablement mauvais, et les effet spéciaux sont plus qu'au rabais - mention spéciale au fameux parasite et à son look de chaussette vaguement maquillée. L’érotisme tient une place très importante : on retient l'arrivée des filles dans le bunker, où elles se mettent de suite en bikini, prenant pour prétexte la chaleur, ou cette scène dans laquelle deux filles se battent dans un mélange de slime et de sang. Ajoutons à cela des scènes d'amours, et vous comprendrez que sur à peine une heure de métrage, vous en aurez pour votre argent niveau sexe bas de gamme.
Les amateurs de gore seront aussi récompensés, même si tout est extrêmement mal fait : on retrouve du sang et des tripes (trop grosses pour être vrai) tout au long du film. A noter que ce film ne souffre pas vraiment de temps mort - vu sa courte durée, on va de suite à l'essentiel. Les acteurs ne croient pas du tout à ce qu'ils jouent, mais on sent néanmoins que tout le monde s'amuse beaucoup. Si vous aimez les gros nanars décomplexés, pas de doute, ce film est fait pour vous.
La bande annonce du film
Parmi les réalisateurs faisant souvent appel aux actrices AV, le plus connu est sans doute Takao Nakano. En effet, son créneau depuis 1993 est le gore érotique complètement barré, cet homme ayant même fait l'objet d'un reportage diffusé sur la chaîne télévisée arte en janvier 2011.
La production qui nous intéresse dans cet article s'intitule Sexual Parasite ou Killer Pussy (Kiseichu Killer Pussy au Japon). On retrouve au casting Sakurako KAORU, bien connue des amateurs d'AV. Elle est ici on peut le dire l’héroïne de cette production. S'ajoutent au casting Natsumi MITSU, une autre figure familière des amateurs du porno nippon, mais aussi Tomohiro OKADA et Togo OKUMOTO, acteurs de très nombreux films érotiques et de série B, ainsi que Toshimichi TASAKI.
Les deux autres filles du casting sont Sachika UCHIYAMA, qui semble avoir tourné dans quelques films AV de seconde zone (principalement des films scato) et Yumi YOSHIYUKI, qui elle a une très longue filmographie de productions Pink (érotiques).
Le film commence un peu à la manière de Braindead. Une expédition nippone est en Amazonie pour récupérer un poisson très rare ; après avoir pêché le dit poisson, un sorcier les met en garde sur le fait que celui-ci est maudit. C'est d'ailleurs à ce moment là que le poisson en profite pour se faufiler dans intimité de la fille du groupe. Le générique nous apprend que ce poisson est en fait un parasite qui s'introduit dans le vagin des femmes, dans lequel il vit et se développe par la suite. De retour au Japon, cinq jeunes tombent en panne en pleine forêt et trouvent refuge dans un étrange bunker. Manque de chance, c'est là que se trouve le corps congelé de l'exploratrice précédemment "violée" par le poisson...
Les acteurs sont mauvais, véritablement mauvais, et les effet spéciaux sont plus qu'au rabais - mention spéciale au fameux parasite et à son look de chaussette vaguement maquillée. L’érotisme tient une place très importante : on retient l'arrivée des filles dans le bunker, où elles se mettent de suite en bikini, prenant pour prétexte la chaleur, ou cette scène dans laquelle deux filles se battent dans un mélange de slime et de sang. Ajoutons à cela des scènes d'amours, et vous comprendrez que sur à peine une heure de métrage, vous en aurez pour votre argent niveau sexe bas de gamme.
Les amateurs de gore seront aussi récompensés, même si tout est extrêmement mal fait : on retrouve du sang et des tripes (trop grosses pour être vrai) tout au long du film. A noter que ce film ne souffre pas vraiment de temps mort - vu sa courte durée, on va de suite à l'essentiel. Les acteurs ne croient pas du tout à ce qu'ils jouent, mais on sent néanmoins que tout le monde s'amuse beaucoup. Si vous aimez les gros nanars décomplexés, pas de doute, ce film est fait pour vous.
La bande annonce du film